Week-end à Orcières Merlettes

Un week-end avec l’amicale des pompiers était prévu à Orcières Merlettes.
Dés notre arrivée, le manque de neige se faisait sentir à Orcières (lieu de résidence de ces Deux jours).

Pourtant, la neige a fait une entrée remarquée puisque elle n’a cessée de tomber quasiment pendant tout le week-end.
Samedi toute la journée nous avons skié dans des conditions quelques peu dantesque, avec beaucoup de brouillard, jusqu’au soir ou on ne voyait vraiment pas grand-chose. Mais nous sommes tout de même arrivé à bon port grâce au plan en évitant quelques falaises apercues par la force des choses au dernier moment.

Le samedi soir j’avais bien fait de retourner les skis car la station fut fermée dans la journée à cause du mauvais temps.

J’en profitais pour me balader un peu, rencontrer ma sœur et sa famille dans le chalet qu’ils louaient.

Fermeture du balcon et double vitrage à La Garde

Les menuiseries avaient besoin d’un relookage et le balcon ne demandait qu’à être fermé de façon à gagner un peu de place. Voilà qui est fait.
Dans l’opération, les portes vitrées du salon ont été remplacées par des baies coulissantes et les vieux volets en fer du salon par des volets roulants électriques.

Exposition de Yves Klein : « Corps, couleur, immatériel »

C’est un artiste fort intéressant que Yves Klein.
Le 06 février étant le dernier jour de l’exposition et profitant des connaissances en la matière de Pierre, j’ai pu ainsi rentrer dans l’univers de cet étrange personnage à travers une partie de ces œuvres.

Me voilà partis en ce lundi, au centre Georges Pompidou

Partant d’une couleur (le bleu) pour arriver à une trilogie de bleu, rose et or, s’approchant de la matière avec passion, la dimension d’Yves Klein dépasse largement celle de la peinture.

« L’implication physique du corps es centrale dans l’œuvre. La couleur est un lien entre corps et immatériel ; véritable force spirituelle, elle transforme l’atmosphère, la vie elle-même en œuvre d’art. En contrepoint, exposition du vide, performances où l’œuvre disparaît, sculptures éphémères, œuvres sonores et projets d’architecture sont autant de déclinaisons de l’immatériel qui constituent pour Yves Klein l’expérience essentielle de l’art ».

En plus de découvrir une approche originale, c’est une conception de l’environnement intéressante qu’il nous donne à repenser. Le temps et l’espace. Quels rapports à l’espace ? De quoi alimenter certaines pistes de réflexions sur mon sujet d’information et de territorialité.

1 ère rencontre des chantiers: L’insertion professionnelle au cœur des débats.

Ce week-end avait lieu les premières rencontres nationales des chantiers thématiques.
Plusieurs thèmes allaient être abordés,
- Insertion professionnelle
- Solidarité locale
- Accueil des étudiants étranger
- Environnement
- Culture
- Santé, prévention des risques
- Solidarité internationale

Chaque chantier donnait lieu à des débats et échanges spécifiques, et celui auquel j’allais prendre part était celui de l’insertion professionnelle.
Nous avons eu ainsi tout au long du week-end divers intervenants avec lesquels nous avons dialogué.

Samedi nous avons commencé avec un exposé du Président de l’AFIJ (Daniel Lamar).
Il nous a exposé les buts et principes de l’organisme et les diverses coopérations possibles.

L’après-midi nous nous sommes penchés sur la question du rapprochement de l’université et du monde de l’emploi.
A la table était réunis : Elie de Saint Jores, Direction de l’éducation et de la formation, chef de service formation initiale au MEDEF.
Didier Genevois, membre du Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche et représentant de la CGPME (Confédération générale du patronat des petites et moyennes entreprises).
François Soulage, Président d’ESFIN-IDES (Conseil des entreprises, employeurs, et groupements de l’économie sociale).
Mathieu Grunfled, Directeur de l’OFIPE (observatoire des formations et des insertions professionnelles, évaluations).

Des profils différents, mais tous participent au même constat qui est celui d’un certain éloignement de l’université et du monde de l’emploi. Le MEDEF s’est prêt à coopérer plus avec les universités, trouvant ainsi un potentiel important mais peu mis à profit.
Sans vouloir atteindre l’indépendance de la recherche fondamentale il a été évoqué le nécessaire rapprochement des préoccupations mutuelles des entreprises et des universités.

Le lendemain, deux initiatives nous étaient présentées :
L’une par Julia Lazzzarotto présidente de l’IDEE (Initiative et développement de l’entreprenariat aux étudiants). Il s’agit donc d’une aide concrète aux étudiants qui envisagent entreprendre.
La deuxième par Christophe Kaczmarek et Guillaume Maurin de la CNJE (Confédération nationales des junior entreprises).
Le concept est tout à fait attrayant et consiste à utiliser les ressources des étudiants ainsi que leurs compétences pour mettre en œuvre un réseaux de services à travers des études aux entreprises.
Cet esprit et vision correspond largement il me semble à ce que nous devons aspirer à AVENCI, c’est pourquoi nous allons entamer une démarche allant dans le sens de la création d’une junior entreprise pour le Master. Une condition dépendra du désir d’investissement des principaux concernés, mais j’espère bien que cela puisse aller au bout.

Enfin, la dernière partie était présentée par Saïd Hammouche Directeur Général du cabinet de recrutement APC recrutement.
Une approche très intéressante a été mise en place qui va complètement à l’inverse de ce que l’on peut souvent entendre pour favoriser la diversité en entreprise.
Il ne s’agit pas ici de lutter contre, mais de mettre en valeur. Ils s’opposent ainsi fortement au principe de quotas ou encore de Cv anonyme, et mettent en place plutôt des moyens qui mettent en valeurs les compétences comme le CV anonyme.

De bonnes réflexions ainsi à continuer…